La voiture pilote Type M2 B8D8 de la SNCB

Hello tout le monde,

J'ai choisi de vous présenter aujourd'hui une rareté, une superbe voiture-pilote M2 B8D8 de la SNCB, modèle Märklin réf. 43536. 

Ce type de voiture est de nos jours devenu quasi introuvable sur le marché car produite en 2003 et retirée du catalogue après 2005. Il faut beaucoup de patience et de recherche pour en retrouver une sur le marché de l'occasion, surtout à prix correct. J'ai eu la chance de trouver la mienne chez trainservice.be et état neuf en plus !

Modèle réel : Type M2 B8D8 de la Société Nationale des Chemins de fer Belges (SNCB), 2ème classe, avec compartiment à bagages et poste de pilotage pour exploitation en réversibilité avec une locomotive diesel.

Modèle réduit : Cadres de fenêtres rapportés. Poste de conduite avec aménagement intérieur. Feux de signalisation assurés par diodes lumineuses sans entretien. Frotteur de prise de courant pour l'éclairage. Prééquipée pour recevoir des attelages conducteurs de courant. Traverse porte-tampons détaillée sans système d'attelage du côté du poste de pilotage. Longueur hors tampons 27,5 cm.

Voici quelques photos de détails.

Et bien entendu, une petite vidéo du fonctionnement des feux réversibles.

Pour info, cela fonctionne aussi bien en analogique qu’en digital, le système d’inversion étant automatique grâce à un petit capteur de mouvement sur un des essieux.

Sonneberg 2.0 : Partie 5 - Le tracé ultime en R3

Hello tout le monde,

Ça y est, après nous avoir d'abord concocté un tracé avec des courbes en R1 et R2, l'ami Fred s'est vite rendu compte que des courbes de faible rayon ne faisaient pas très réaliste dans la mesure où il souhaitait faire évoluer de longs convois avec des voitures longues.

De plus, une gare de passage était trop "classique" et il souhaitait autre chose. Bref il s'est plongé dans l'étude d'un nouveau tracé et voici le résultat final !

Comme vous pouvez le constater, exit le tracé double-voie en R1 R2 et place au R3 en voie unique.

Au premier plan, une déviation intérieure (avec voies de garage) longe la voie principale et va rejoindre par l'arrière une grand gare terminus disposée en diagonale et communiquant avec un dépôt avec pont tournant et rotonde. Seule la boucle interne accédant à la gare est en R2.  

A l'arrière, l'utilisation d'une paire d'aiguilles courbes de grand diamètre R3 R4 permet d'obtenir une double-voie de parade. Toutes les autres aiguilles droites ou gauches sont en R2.

Voici quelques photos prises lors de la mise en place des voies.

Et pour terminer, le schéma du futur TCO.

Et deux petites vidéos en bonus !

A suivre ...

Une église pour le bourg !

Hello tout le monde,

Les travaux reprennent avec l’assemblage d’un bâtiment qui manquait dans mon petit bourg et pour lequel j’ai pile-poil la place !

Je suis parti d'un kit Faller réf. 130239 déjà patiné d'origine.

Comme vous pouvez le constater, ce kit comporte deux variantes de clochers ainsi que de nombreuses petites pièces rapportées en laiton photogravé.

La construction commence par les murs principaux.

Pour la découpe des pièces en laiton, l'idéal est une paire de petits ciseaux à pointes recourbées. Le collage de ces micro-pièces se fera évidemment avec une pince à épiler. Personnellement,  je pose une goutte de colle liquide Faller Expert à l'endroit choisi, je dépose et positionné la pièce laiton et immédiatement après, j'applique en pressant du doigt un morceau d'essuie-tout dessus à plusieurs reprises, histoire de ne laisser aucune trace de colle et bien fixer la pièce.  

C'est long et fastidieux, mais le résultat en vaut la peine.

Les murs principaux sont ensuite assemblés et collés sur le socle.

Je profite de l'occasion pour vérifier l'implantation de l'édifice sur le réseau.

Les travaux se poursuivent avec la mise en place des caches internes (vitraux), l'installation des portes (j'ai choisi de les coller et d'en laisser une entre-ouverte) et la pose de la toiture.

On poursuit ensuite avec le montage et la préparation des murs constitutifs de la tour du clocher et leur assemblage.

Il reste ensuite à choisir le type de clocher (à bulbe ou en pointe), l'assembler et le mettre en place. Pour finir, on placera les gouttières, leurs descentes et la traditionnelle girouette en haut du clocher. Trois modèles sont proposés, j'ai retenu le coq.

Et voilà ce que donne le résultat final une fois l'église placée sur le réseau ! 

Une voie supplémentaire qui change tout !

Hello tout le monde,

Je dois me rendre à l'évidence... pour diverses raisons, dont la place disponible entre autres, mon rêve d'un grand réseau HO fixe restera très certainement un rêve. 

Certes, je pourrais toujours envisager une construction avec des modules (sans décor fixe) que je rangerais verticalement et ressortirais une fois toutes les lunes pour les assembler dans le living, mais je n'en vois vraiment pas l'intérêt. Je peux donc oublier les longues rames de grandes voitures M2 ou autres...

Mais ça n'a pas d'importance au final, certains ne disposant même pas du tout de place pour faire quoi que ce soit. Et puis bon, le matériel court, c'est chouette aussi.
Aussi ai-je décidé aujourd'hui d'améliorer mon petit réseau fixe en le reprolongeant sur l'avant de 5cm, ce qui m'a permis de rajouter une voie de garage et ça change tout !

En plus de me faciliter la formation des convois et/ou le rangement d'un train, cette voie pourra dans le futur me permettre également (en enlevant le heurtoir) d'envisager une petite extension (amovible, obligé pour l'accès à la porte) vers la gauche pour aller par exemple vers un petit dépôt.

 
Bref, mon p'tit réseau je l'adore encore plus maintenant !

Sonneberg 2.0 : Partie 4 - Une porte de ville en grès des Vosges

Hello tout le monde,

Il est devenu fou !

Voilà ce que je me suis dit lorsque l'ami Fred s'est lancé dans la construction de la porte d'entrée et les murailles de sa future ville, cela en décidant de reproduire des pierres en grès rose des Vosges au départ de kits Faller, certes jolis, mais en pierres de couleur grise.

Je vous le dis, notre Mendès du pinceau et de la patine s'est encore surpassé, ce que vous allez découvrir relève d'un véritable travail d'artiste. Personnellement, jamais je n'aurais eu le courage ni la patience.

Rien ne vaut la découverte par l'image pour vous rendre compte du travail fabuleux accompli par Fred.

La construction commence par la préparation et une première mise en couleur et patine des éléments qui constitueront la porte d'entrée. Ces éléments sont ensuite assemblés classiquement.

Voici ce que cela donne avant et après avoir reçu la patine finale.

Ceci n'était que l'apéritif... passons maintenant au plat de résistance, à savoir les murailles et la tour haute.

La première étape a été de peindre les horribles murs gris dans des nuances de teintes se rapprochant le plus possible du fameux rose du grès des Vosges. Inutile de dire que cela a demandé pas mal de travail à notre Mendès du pinceau !

Une fois l'assemblage des murs réalisé commence le travail le plus fastidieux, à savoir la reprise pierre par pierre de tout l'ensemble en introduisant de nombreuses nuances de teintes. Un travail de fou je vous dis, mais quel résultat !

Bien entendu, une dernière patine sombre est appliquée...

Et pour terminer, les toitures et autres détails sont une nouvelle fois patinés !

Et voilà le travail ! A couper le souffle non ?

Moi je vous le dis, notre Mendès...